Vous avez envie de changer d’air, de consacrer un peu de temps pour votre famille, mais votre travail ou votre temps ne vous le permettent pas. Peut-être est-ce juste la routine qui commence à vous titiller ou l’impression de passer à côté de votre vie ?
Vous avez supporté pendant plusieurs années cette vie qui en fait ne vous convient plus. Jusqu’ici, vous vous disiez que c’était peut-être passager, mais voilà : vous bloquez désormais sur cette idée qu’il est impératif de changer de vie pour ne pas faire partie de ces 90% des personnes qui ont des regrets à la fin de leur vie.
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En s’occupant pendant plusieurs années de patients dans les dernières semaines de leur vie, une infirmière australienne a recueilli leurs derniers mots, vœux et souhaits, rapporte The Guardian.
Dans son livre The top five regrets of the dying (les cinq plus grand regrets des mourants) paru à la fin de l’été 2011, Bronnie Ware s’intéresse plus particulièrement à la «clarté de vision que les gens atteignent à la fin de leur vie, et à la façon dont nous pourrions apprendre de cette sagesse».
Elle explique que les réponses de ses patients sur leurs regrets ou des choses qu’ils auraient aimé faire de manière différente se recoupaient, sur «des thèmes communs qui revenaient constamment».
Voici les cinq plus grands regrets des patients dont elle s’est occupée:
1. «J’aurais aimé avoir le courage de vivre comme je voulais, et pas de vivre la vie qu’on attendait de moi»
2. «Je regrette d’avoir travaillé si dur»
3. «J’aurais voulu avoir le courage d’exprimer mes sentiments»
4. «Je regrette de n’être pas resté en contact avec mes amis»
5. «J’aurais aimé m’autoriser à être plus heureux»
Mais qu’est-ce qu’une vie qui vous correspond vraiment ? Il être presque vitale d’identifier ce qui vous bloque en ce moment. Ces problèmes font-ils partis de ce qui a été mentionné précédemment ?
La chose qui m’attriste le plus au monde n’est pas la famine, la guerre ou la violence mais c’est de voir tous ces salariés qui vont au travail chaque matin avec l’envie que leur journée soit déjà terminée. C’est ça qui me fait mal au cœur et surtout, je ne veux pas en faire partie ! Et vous ?
En effet :
Près de la moitié des salariés (48,4%) considèrent leur travail satisfaisant mais sans plus, selon un sondage réalisé par l’institut GFK pour le site d’offres d’emploi Monster.fr consulté par le Parisien Le pourcentage monte même à 51,6% chez les 18-24 ans et 60% chez les seniors de 50 à 64 ans.
Pire, 8,8% des ouvriers, employés et cadres français n’aiment pas du tout, voire détestent leur job. Ils sont 14,5% chez les 18-24 ans. (1)
Vous savez, il y a cette fameuse phrase de Steve Jobs (que j’ai d’ailleurs mis bien en face de mon bureau) qui explique parfaitement cette idée :
On se pose rarement des questions, on continue d’avancer, en mode « pilote automatique » dans notre petite vie. Cependant, dans cet article, je veux au moins que vous répondiez à ces 3 questions :
Quel âge avez-vous ?
Sur une échelle de 1 à 10, à combien estimez-vous être heureux dans votre vie actuellement ?
Qu’est-ce qui vous fait vibrer ?
Changer de vie : La ville versus la campagne ? une solution ?
Et si votre envie de changer de vie c’était juste de partir de la ville pour partir vivre à la campagne ? C’est le rêve de beaucoup, beaucoup de parisiens par exemple.
Une toute fraîche étude de BVA pour la presse régionale le montre : 64% des Français souhaitent vivre à la campagne quand ils ne sont que 35% à préférer la vie en ville. Le taux grimpe même à 71% dans le Sud-Ouest de la France.
Parce qu’à la campagne, si on est par définition éloigné des grandes zones d’emploi et d’équipements, la vie n’est pas si rude. Autour des bourgs et des petites villes en «Nord et Sud-Charente, les situations d’emploi sont plus favorables que les territoires plus denses. Les familles monoparentales y sont moins présentes», reprend l’Insee.
Loin du fracas de la ville, la campagne est aussi ce havre de paix où la vie s’écoule au rythme des plaisirs simples.
Michel Gros a vécu pendant quarante ans «dans l’hystérie» cannoise où il exerçait en tant que psychanalyste.
Il vit son retour en Charente comme une renaissance. «Être seul dans les bois, ne penser à rien et tomber sur un tapis de cèpes, c’est un tel plaisir. C’est une forme de retour aux plaisirs simples de la nature, à sa fonction nourricière. Les gens de la campagne ont conscience de cela. Nous, citadins qui (re)découvrons la vie rurale, ressentons avec vigueur ce bonheur et l’intellectualisons.» (2)
Je termine cet article en vous disant qu’il faut se lancer des défis dans la vie, il ne faut la subir, il ne faut pas être esclave de sa vie car par « fainéantise » vous ne vous êtes pas posé les bonnes questions de ce que vous voulez vraiment devenir.
« Un homme qui n’est pas capable de s’émerveiller a pratiquement cessé de vivre » disait Albert Einstein.
Source :
1. http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/11/18/97002-20131118FILWWW00088-peu-de-francais-sont-satisfaits-de-leur-job.php
2. http://www.charentelibre.fr/2015/09/26/les-francais-veulent-vivre-a-la-campagne-et-dans-le-sud-ouest-sondage,2018999.php
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